par Kanamé Kuran Dim 1 Mar - 22:21
Frissonnant de fureur, je ne détachais pas la fenêtre par laquelle ell s'était envolé. littéralement.
Inspirant un bon coup, je sentis le petit être bouger. M'approchant de la fenêtre, je lançais mentalement à ma femme.
* Yuki, c'est NOTRE enfant, j'ai jamais dit qu'il était uniquement à moi ! Qu'est-ce que tu va imaginer ! De plus, quand tu es redevenue toi même j'ai sentis que tu pouvais te tenir. et j'ai de suite regretter mes paroles, avant même que tu m'en fasse la remarque. Je ne t'ai jamais voulu comme femme uniquement pour me contrôler, jamais. JAMAIS ! *
J'avais hurler le dernier mot aussi bien mentalement que physiquement.
* Yuki, je me doute bien que j'ai froissé la mère de notre enfant, et je m'en excuse. Je t'aime et notre enfant aussi. Je sais que c'est réciproque. Je ne peux laisser notre enfant seule pour le moment. *
Me retournant vers Carlisle et Bella, je lançais.
- Il me faut quoi pour notre bébé ? Je vais retourner chez nous. Que ceux qui veulent viennent. Je vous retrouve là bas
Je pris délicatement une autre serviette pour envelopper notre enfant.
* C'est quoi son prénom ? Je ne vais pas lui en donner, je laisserais Yuki choisir. *
Je n'avais dit cela que pour moi mais je savais que Yuki écoutait. Reprenant délicatement notre bébé, je le calais contre ma poitrine avant de m'élancer dans les air et de suivre la piste de ma femme. Je sentais sa colère dans ses fragrances mais autre chose.
* De l'humiliation. Oh, excuse moi ma douce. *
Je continuais à courir avant d'arriver dans une zone très sauvage. Percevant son esprit à proximité, je cherchais à m'approcher d'elle tout en évitant d'aller trop vite.
* Je l'aime et pourtant je fait tout de travers. Je ne suis qu'un abruti, je ne les mérite même pas. Après avoir revu ma douce, et en fonction de la suite des événements, je ne pense pas que je resterais. Cela me déchirera le coeur de les laisser mais je ne veux plus lui faire de mal. *
- Je vais faire quoi après ? La consoler, la dorloter; Je l'ai déjà surement perdu.
Contournant un arbre, je la vis et m'arrêta. Ne sachant que faire, j'attendis qu'elle libère sa colère sur moi qui était totalement mérité de ma part.