Rencontre fort sympatique [Vs Renesmée (mon amour) et Bella (mon amie d'enfance)]

- Moi oui, j'attendais quelqu'un : Toi, ma douce.

Et il lui donna un baiser fougueux. Ignorant, les peronnes présentes dans le bar, je continuais mon manège amoureux. Toutefois, une pensée lucide persa au travers de mon plaisir.

- Je pense que la forêt seraits mieux pour ce que l'on s'aprette à faire. Tu veux boire quelque chose avant de te dépenser avec moi.

Un sourire ravageur apparu sur mes lèvres, l'envie de lui faire plaisir tout de suite me déchirant de l'intérieur.

- Tu es sortis rapidement, ma fois ! C'est pas souvent que tu t'en sorts aussi rapidement.

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Grondant de jalousie, je marmonais, conscient qu'elle entendrais.

- Je pense que ce ne sera pas trop décent. Vaut mieux que tu te serves sur moi. Mais pas maintenant, avec tous les témoins autours.

* Je ne voulais pas qu'elle ailles voir ailleur. Je l'aime trop. *

La déposant à coté de moi, je lui demandais.

- Tu veux boire quelque chose d'autre que du sang, que je commande, ma douce ?

Soupirant, je me levais, et allais commander. revenant m'assoir, je réfléchissais à la façon de lui dire la réalité de la chose.

- Disons que depuis que je me suis imprénier de toi, je ne peux et ne dois pas me séparer de toi. Tu es l'obligation la plus importante, ma vfie et ma meute passe après. DOnc quand tu me demande plus de temps avec toi, je ne peux que tu suivre. Je ne demanda pas à m'éloigner de toi, je veux être avec toi, c'est ma raison de vivre. Tu me fais vivre. Sans toi, je meurs.

Et il lui déposa un baiser sur le front avant de s'assoir à ses cotés.

Un grondement de frustration remonta le long de ma gorge. Me concentrant sur mon verre vide de coca, je ne pus retenir un frisson d'envie pour ma voisine. Celle ci me menait en balade. Même si c'était ma femme, je ne pouvais pas laisser passer pareille occasion. J'attendis qu'elle eu finis avec son café.

Dés qu'elle eu fini, je la soulevais et l'entraînais dehors, lui prodiguant des infimes caresses pour qu'elle reste tranquille le temps du trajet. Mué, je ne répondais à aucune de ses intérrogations, mentales et vocales. Je lui chuchotais, plein d'envie retenue, un :

- Tu verras.

Arrivé à ma voiture, je l'installais confortablement coté passager, avant de passer coté conducteur. Déboulant sur la voie publique je conduisais rapidement.

Arriver dans un coin sombre de la forêt alentour, je la soulevais de son siège et la posait sur moi. Prenant sa tête entre mes mains, je collais sa bouche à la mienne. Faisant descendre mes mains jusqu'à son bas ventre, je lui procurais maintes caresses. Reculant la tête pour voir la sienne, je la regardais, un sourire en disant long sur mes intentions sur les lèvres, le regard sauvage braqué sur ces yeux noisettes.

Un frisson de bonheur passa sur mon corps brulant quand elle me fit voir ses pensées et ses sentiments. Elle se laissa faire. Etonné je lui chuchotais, sur un ton réprobateur

- Alors comme cela, tu reste passive ? Je sens que tu auras droit à une punition.

Et je m'arrêtais net. Croisant les bras, je fis semblant de lui en vouloir, sacahnt pertinament que sa moindre supplique suffirait à réveiller l'amour fou que je tentait de réprimmer.

Grognant, je la laissais faire. Bridant le plus possible, mon désir compulsif pour elle, je la laissais l'augmenter. Conscient de la furie qu'elle recevrais quand je lacherais la bride, je ne bougeais pas même si ma peau frissonnait de plaisir. Un sourire plein de promesse apparu sur mes lèvres alors qu'elle me poussait à bout.

- Tu verras la centence que tu auras, si tu continue.

Feulant de plaisir, je ne pus me contenir trop longtemps. Déroulant bras, je commençais un manège frénétique sur son corps. mes mains se déplaçaient vite sur son corps de déesse dévellopant des talents cachés pour distribuer du plaisir. Le souffle de sa partenaire devint court. Un sourire apparu sur mes lèvres.

- Tu vas subir mon courroux.

[]Une de mes mains passa sous sa mini jupe, s'approchant inexorablement de son entre jambe. Remarquand alors un dernier rampart entre le tréfond de son être et ma main, un morceau de fine dentelle. Grognant, je tirais vivement dessus, le déchirant.[/i]

- Oups.

Ne m'arrétant pas en si bon chemùin, je commençais mes caresses autour des replis intimes avant que ma main aille les fouiller. Ma deuxièmme main n'étant pas fénéante remonta sous son chemisier. Passant dans son dos, dégraffa rapidement le soutien-gorge, puis revint titiller la poitrine de Renesmée.

- Ma douce Nessie, tu vas me supplier de continuer sous peu.

Se trompant sur les intension de Nessie, je m'approchais d'elle. La soulevant, je me dirigeais rapidement vers un cours d'eau pas loin, assez profond toutefois. Je l'entraînais, le froid de l'eau nous donnant des frissons.

- Je sens que tu auras droit à la suite.

Ainsi je commençais doucement, l'eau redoublant les paisir indécis de nos corps entremélés.

Grognant, je me reculais. Elle avait d'autres soucis, et je voulais les résoudre.

- Que ce passe t'il ? Je te sens tendu. Que faut il que je fasse pour que tu retrouve ta sérénité ?

Arrétant les jeux coquins, il prit doucement Renesmée par l'épaule et l'approcha de son corps. Alors que les deux corps se touchaient, j'enlaçais ma douce, avant de lui chuchoter à l'oreille.

- Vas y raconte ton problème.

L'enlaçant, je lui chuchotais.

- Ne t'inquiète pas, je comprends. Je me doutais que c'était ce problème, avec des parents comme les tiens. Chut, calme toi. Tu n'as pas à être désolé. J'aurais du me montrer moins aguicheur. je vais te laisser te laver. Evitons qu'ils sentent l'odeur de ton sang, cela pourrait très mal se finir pour nous deux.

Reculant, je rejoins le bord de la rivière et partait en direction de la voiture.

Quelques minutes plus tard, je revins, les mains chargée des vetements de ma douce âme-soeur.